Article écrit initialement en anglais le 9 juin 2019
Le réchauffement est dû au soleil, pas au CO2.
Les géologues
savent qu’un changement climatique sans rapport avec le CO2
atmosphérique s’est produit au fil des 4,5 milliards d’années d’histoire
de la Terre. Pourtant, l’IPCC ne compte aucun géologue parmi les centaines
d’auteurs nommés de son cinquième rapport d’évaluation de 2014 et son sixième
rapport prévu en 2022. L’IPCC manque donc incroyablement de contributions
géologiques et de perspective à long terme.
– Géologue Dr Roger Higgs
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25 éléments simples prouvant que le CO2 ne cause pas le réchauffement de la planète : par un géologue pour changer
Dr Roger Higgs,
Geoclastica Ltd, Note technique 2019-11,
6 avril 2019, sur ResearchGate
Nous devons exposer de toute urgence le mensonge affirmant que « CO2 = polluant » qui est matraqué dans la tête de vos enfants, petits-enfants, neveux et nièces par les écoles, les universités, les gouvernements et les médias dominants, et le dénoncer en termes scrupuleusement véridiques et facilement compréhensibles par le public, y compris les jeunes.

Voici les 25 éléments prouvant l’innocence du CO2 :
1) Les géologues savent qu’un changement climatique sans rapport avec le CO2 atmosphérique s’est produit au fil des 4,5 milliards d’années d’histoire de la Terre. Pourtant, le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) ne compte aucun géologue parmi les centaines d’auteurs nommés de son cinquième rapport d’évaluation de 2014 et son sixième rapport prévu en 2022 (voir ma note technique 2019-11). Le GIEC manque donc incroyablement de contributions géologiques et de perspective à long terme.
2) L’existence même du GIEC repose sur la croyance du public en un réchauffement planétaire d’origine humaine ou « anthropique » (RCA) par des émissions de CO2. De plus, ses auteurs nommés, majoritairement des chercheurs des gouvernements et universités, sont presque tous biaisés par de forts intérêts personnels dans le RCA, c.-à-d. des réputations (publications, lectures) et le maintien de salaires et de subventions de recherche. De façon similaire, de grandes universités ont abandonné leur impartialité et leur intégrité scientifiques en accueillant des instituts de recherche mandatés pour confirmer et agir sur le RCA, par ex. le Grantham Institute (Imperial College), Tyndall Centre.
3) Il est faux, mais souvent répété, que « Un consensus de 97 % des scientifiques affirme que le réchauffement de la planète est la faute de l’humain » (émissions de CO2). En fait, ce chiffre fait référence à des études d’un groupe relativement petit de « climatologues » (un type de scientifique relativement nouveau, ayant de puissantes mesures incitatives favorisant le parti pris ; voir les points 2 et 15) ; de plus, il s’agit seulement de ceux qui « publient activement ».
4) « Négationniste du changement climatique » et « Négationniste du réchauffement de la planète » sont des termes méprisables et malhonnêtes pour « ceux qui doutent du RCA ». Aucune personne instruite ne nie le réchauffement de la planète, car les thermomètres ont mesuré une hausse de 1 °C de 1850 à 2016 (avec des pauses).
5) Selon l’« hypothèse de l’effet de serre », sur laquelle se base la croyance du GIEC en le RCA, les gaz atmosphériques piègent la chaleur. Mais cette ancienne notion (du XIXe siècle) n’est qu’une idée, pas une hypothèse, car elle est impossible à tester et à prouver dans un laboratoire car aucun contenant expérimental ne peut imiter l’atmosphère bien mélangée et non confinée de la Terre.
6) Les modèles informatiques du GIEC sont tellement remplis de suppositions extrêmement peu fiables que par ex. la prévision de réchauffement pour la période allant de 1995 à 2015 s’est avérée être 2 à 3 fois trop élevée ! Une raison vraisemblable est que l’idée de l’effet de serre est absurde, comme expliqué dans de récentes publications par plusieurs scientifiques. Voir le point 19 pour un échec également drastique des modèles du GIEC. Voir aussi https://www.wnd.com/2017/07/study-blows-greenhouse-theory-out-of-the-water/ https://principia-scientific.org/r-i-p-greenhouse-gas-theory-1980-2018/
7) Pendant environ 75 % des derniers 550 millions d’années, le CO2 était 2 à 15 fois plus élevé que maintenant. L’évolution a fait son chemin, le CO2 permettant la photosynthèse des plantes, la base de toute vie. Les événements d’extinction dus à une surchauffe par le CO2 sont inconnus.
8) Lors des 12 000 dernières années (notre période interglaciaire Holocène actuelle), le CO2 était seulement à un niveau de 250 à 290 ppm (particules par million), proche du niveau de famine des plantes, jusqu’à environ 1850 quand les émissions de CO2 industrielles ont commencé, ce qui a fait grimper nettement le CO2. Cependant, le CO2 est actuellement à seulement 412 ppm, c.-à-d. sous la moitié d’un dixième de 1 % de notre atmosphère.
9) Jusqu’à ce que l’humain commence à ajouter du CO2 vers l’an 1850, un réchauffement (déterminé à partir d’indicateurs indirects tels que des cernes de croissance des arbres) depuis le pic de la petite ère glaciaire de l’an 1600 s’accompagnait d’un lente hausse de CO2 (mesurée dans les carottes de glace). Une simple explication est la libération de CO2 par l’eau des océans, dont la capacité de rétention du CO2 diminue du fait du réchauffement.
10) Soutenant ce signe que le CO2 est une conséquence, et non pas une cause, du réchauffement de la planète, une étude publiée de mesures de 1980 à 2011 a montré que des changements dans la vitesse du réchauffement précèdent des changements dans la vitesse d’augmentation du CO2, d’environ un an.
11) Depuis le début des ajouts humains en 1850, la hausse du CO2 s’est généralement accélérée, sans régression. Cela contraste vivement avec la poursuite du réchauffement entre 1850 et maintenant après la petite ère glaciaire était interrompue par de fréquents petits refroidissements de 1 à 3 ans (certains étant liés à des « hivers volcaniques »), plus deux refroidissements de 30 ans (de 1878 à 1910 et de 1944 à 1976), ainsi que la fameuse « pause du réchauffement de la planète » ou « hiatus » de 1998 à 2013 (Wiki).
12) Ce réchauffement moderne instable ressemble plutôt à la hausse instable de l’activité magnétique du soleil commençant en 1901 et atteignant un rare pic solaire appelé « grand maximum » en 1991, le premier en 1700 ans !
13) Le réchauffement moderne a atteint un pic en février 2016. Depuis, la Terre s’est refroidie pendant 3 ans (Cet article a été écrit en avril 2019).
14) La « théorie de Svensmark » dit qu’un flux magnétique solaire accru réchauffe la Terre par déviation des rayons cosmiques, réduisant ainsi la nébulosité, permettant à davantage de chaleur du soleil de réchauffer les terres et les océans au lieu d’être réfléchie. Cette théorie est soutenue par une étude de la NASA de données de satellites sur 32 ans (de 1979 à 2011) qui a montré une diminution de la couverture nuageuse.
15) Le Dr Stefan Rahmstorf, un climatologue véhément, qui a travaillé au sein du GIEC (Wiki) de l’Institut Potsdam pour la recherche sur l’impact climatique du gouvernement allemand, ayant reçu 1 million de dollars de subvention de recherche personnelle provenant d’une fondation privée, a dit incorrectement dans son article de 2008 « Changement climatique anthropique » : « il n’y a pas d’alternative viable … [au CO2 en tant que facteur du réchauffement moderne de 1940 à 2005 car] … différents auteurs conviennent que l’activité solaire n’a pas significativement augmenté » durant cette période. Mais neuf ans plus tôt, en 1999, le célèbre physicien Dr Michael Lockwood (Wiki ; FRS) a écrit, dans « A Doubling of the Sun’s Coronal Magnetic Field During the Past 100 Years » (un doublement du champ magnétique de la couronne solaire lors des 100 dernières années), publié dans le prestigieux journal Nature : « Le flux magnétique total quittant le soleil a augmenté d’un facteur de 1,4 depuis 1964 » et de 2,3 depuis 1901 ! Voyez par vous-même la hausse globale impressionnant de l’activité magnétique du soleil de 1964 à 1991, enregistrée par la forte chute globale de neutrons détectés (proportionnels aux rayons cosmiques), sur le graphique 3 ici … https://cosmicrays.oulu.fi
16) Lockwood a montré que le flux magnétique solaire moyen a augmenté de 230 % de 1901 à 1995, qui a donc plus que doublé ! La valeur du pic final était 5 fois la valeur minimale de départ ! Les points 17 et 18 soutiennent de manière similaire la théorie de Svensmark…
17) … après le grand maximum solaire précédent (IVe siècle, longtemps avant le CO2 industriel), dans les prochaines décennies la Terre s’est réchauffée jusqu’à avoisiner ou dépasser la température d’aujourd’hui. Puis, il y a eu un refroidissement en « dents de scie », en passant par les âges sombres et la « période de réchauffement médiévale », jusqu’au Petit âge glaciaire, en parallèle avec un déclin solaire instable de 1000 ans ; et …
18) … avant cela, entre 8000 et 2000 avant J.C., la Terre était occasionnellement plus chaude que de nos jours pendant des centaines, voire des milliers d’années, comment le montrent les cernes des arbres, le rétrécissement des glaciers, etc. Ensuite, un refroidissement instable depuis l’an 3000 av. J.C. jusqu’à la petite ère glaciaire en parallèle avec un déclin solaire instable suivant le « super grand maximum » de l’Holocène vers 3000 av. J.C.
19) Ce refroidissement de 4500 ans contredit les modèles informatiques de l’IPCC qui prédit plutôt un réchauffement par la (lente) hausse simultanée de CO2. Il s’agit du « mystère de la température de l’Holocène » de Liu et al. (2014). Voit aussi le point 6.
20) De manière embarrassante pour les partisans du RCA, l’intervalle chaud entre 8000 et 2000 av. J.C. (point 18) était déjà, ironiquement, nommé l’« Optimum climatique de l’Holocène », avant que commence l’hystérie avec le CO2/RCA. La chaleur a probablement bénéficié au développement social des humains. En effet, c’était des épisodes froids, apportant sécheresse et famine, qui ont mis fin à des civilisations.
21) Les graphiques post-1880 en intercorrélation comparant le flux magnétique solaire à la température de la Terre suggèrent une période de latence de 25 ans, de telle sorte que le pic de température de 2016 correspond au pic solaire de 1991. Cette période de latence est probablement due à l’inertie thermique élevée des océans en raison de son énorme volume et de sa forte capacité thermique, d’où la lente réponse au réchauffement.
22) L’IPCC, ignorant la possibilité d’une telle période de latence, prétend que le réchauffement planétaire simultané (jusqu’à 2016) et l’affaiblissement solaire (depuis 1991) doivent signifier que le réchauffement est entraîné par le CO2 !
23) La dernière période interglaciaire il y a environ 100 000 ans était plus chaude que notre période interglaciaire de l’Holocène. Les humains et les ours polaires ont survécu ! Le CO2 était alors d’environ 275 ppm, c.-à-d. plus bas que maintenant (point 8).
24) La hausse simultanée de température et de CO2 est une « corrélation infondée ». La véritable cause du réchauffement était une accumulation solaire jusqu’à un rare grand maximum, que l’industrialisation humaine a accompagnée par hasard. Donc la diabolisation par l’IPCC du CO2 en tant que « polluant » est un une erreur aberrante colossale, coûtant des billions de dollars en efforts inutiles et inefficaces pour le réduire.
25) Le refroidissement de la planète actuellement en cours depuis février 2016 peut être prédit pour durer au moins 28 ans (c.-à-d. jusqu’à 2044), ce qui correspond au déclin solaire de 28 ans depuis 1991 jusqu’à aujourd’hui, et permettant la période de latence de 25 ans (point 21). Conclusion inévitable : L’IPCC a tort − C’est le soleil, et non pas le CO2, qui a entraîné le réchauffement de la planète moderne.
Voici des informations sur le Dr Higgs
http://www.geoclastica.com/BudeGeoWalks.htm
Merci au Dr Roger Higgs pour ce lien. Contactez rogerhiggs@hotmail.com pour des sources de la littérature scientifique concernant tout « fait gênant » susmentionné.