1. Un grand amateur de fruits a des choses à dire
« Il y a 20 ans, les fruits étaient BIEN PLUS sucrés et intenses. En Thaïlande, ils ont des meilleurs fruits et la fécondité de la population est énorme. Pareil dans certains endroits d’Afrique où les fruits sont tellement sucrés et la fertilité des sols est incroyable.
On peut comparer ces pays aux États-Unis ou à l’Australie qui sont bien moins fertiles en moyenne, et où les cliniques de fécondation in vitro sont archi pleines et où la consommation de sucres est plus basse que ces nations asiatiques ou africaines fertiles.
Les fruits peuvent être amers et pleins de pépins ou bien SUCRÉS et avec de petits pépins. C’est selon l’animal pollinisateur dont dépend la plante.


Le fruit le plus doux que j’ai goûté de ma vie était une asimine (le fruit de l’asiminier d’Amérique du Nord). La teneur en sucre de ce fruit est hors norme. Pareil pour les dattes qui sont également un aliment très populaire auprès de nombreux animaux sauvages.
Bien sûr, de nombreux fruits originaux ont disparu ou sont devenus très rares à cause des pâturage et de la destruction de l’habitat.
En Australie, nous avions le raisin du désert australien qui contenait environ 70 g de sucre pour 100 g de poids sec. Un véritable aliment de base pour de nombreuses tribus aborigènes. Le bétail et le pâturage ont exterminé la plupart des buissons de raisin du désert lors des 200 dernières années.
Demandez à n’importe quelle personne âgée d’environ 80 à 90 ans si les fruits étaient plus sucrés à son époque. 100 % sûr qu’il approuveront. Le sol d’aujourd’hui est si épuisé à cause des produits chimiques, de l’érosion de la couche arable, etc. Les fruitiers qui poussent sur un sol de QUALITÉ donnent des fruits HYPER sucrés par rapport à ceux qui poussent en culture hydroponique, etc. Tout cela au nom des volumes de production.
Davao City a des fruits très sucrés issus d’arbres qui poussent sur un sol volcanique. Les taux de fécondité sont aussi très élevés. Les fruits de Davao ont une essence RICHE. Il faut les goûter pour comprendre.

On se souvient d’un fruit de qualité, car il sera TELLEMENT bon qu’on ne l’oubliera JAMAIS. Je me souviens même de certains fruits que j’ai mangé il y a 25 ans. »
– Un grand amateur de fruit
2. Davantage d’infos dans un long article résumé ci-dessous
- Bien que tous les fruits sauvages ne soient pas grands et sucrés comme nos cultures modernes, au moins certains le sont, et certaines variétés surpassent même en taille et en goût nos fruits reproduits intentionnellement. La nature (en particulier avec la pression de la sélection d’autres créatures mangeuses de fruits) est parfaitement capable de produire des fruits sucrés (et parfois énormes) sans intervention humaine. Il semble improbable que les premiers humains aient seulement trouvé des baies ou d’autres « petits fruits amers », et l’évitement des fruits plus sucrés sur la base de l’histoire évolutive serait erroné.
- D’après la recherche limitée dont nous disposons, les fruits sauvages ne sont pas considérablement différents des fruits cultivés en termes de teneur en glucides, teneur en fructose ou teneur en fibres. Les fruits sauvages et cultivés semblent avoir avoisiner en moyenne 90 % de calories issus des glucides, et avoir une composition de sucre qui produit des parts égales de glucose et de fructose. Les fruits sauvages et cultivés peuvent tous les deux être relativement riches ou pauvres en fibres.
- Bien que les baies soient souvent encensées comme étant plus pauvres en fructose par rapport aux autres fruits, c’est faux du point de vue calorie/énergie !
- Les premiers humains auraient très bien pu avoir accès à des fruits pendant la plupart voire toute l’année. Les saisons de production des fruits que nous connaissons dans les climats plus froids (où la plupart des fruits apparaissent en été) ne s’applique pas nécessairement aux terres où nous avons évolué qui sont plus proches de l’équateur.
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